Action culturelle et éducative : le minimum

Publié le par laseynedanslebonsens




La droite a estimé que l'action culturelle dépend de l'agglomération, et que le "minimum vital" suffit à l'éducation autre que scolaire.

Quelques exemples, certes un peu en vrac, illustrant la "modestie" de son action...


Il serait injuste de dire que le plan de rénovation des écoles primaires et des équipements sportifs, comme le programme d'activités périscolaires pour les enfants, engagés avant l'élection de la droite, n'ont pas été poursuivis. Mais...

Si la masse budgétaire dédiée aux subventions aux associations demeure stable, de nombreuses aides directes ou indirectes leur ont été retirées ou sont désormais facturées : service de transport par minibus, fonds de ressources pour les initiatives locales, locaux communaux, ...

Sans compter que le Maire a choisi de ne plus subventionner ou de réduire les aides à certaines associations "politiquement incorrectes".

Les crédits "Politique de la Ville" alloués à l'École de Musique n'ont pas été utilisés dans une fonction d'éveil culturel en direction des publics du centre ancien mais à un enseignement élitiste.

Une compagnie de cirque "en résidence" aux frais de la ville n'assure que fort peu, en contrepartie, son obligation de faire bénéficier nos concitoyens d'une partie de ses activités.

Rien n'a été fait pour la relance des jumelages et la valorisation de la culture provençale.

Alors que le sport est une formidable école de socialisation pour les jeunes, la droite a pour projet la démolition sans reconstruction d'un gymnase au coeur du quartier Berthe, qui va être suivie de la transformation d'un terrain de football ouvert en espace public sans réelle destination (pour l'instant...).


Les élus de Gauche l'ont dénoncé au cours du mandat 2001-2008 !
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 Avec la droite, nous perdons 1 point de Qualité de Ville !

Il nous en reste...



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