Economie, tourisme et commerce : on se bat bien peu...
Même si la compétence "économie" a été transférée à l'agglomération, la droite communale et intercommunale a semblé peiner à soutenir la dynamisation de l'activité économique.On veut bien croire que c'est le marché qui détermine le développement économique. Mais on sait aussi qu'une commune peut participer à la création de conditions favorables pour les dirigeants et les salariés, en assurant un cadre de vie incitatif : fluidité de la circulation, logement accessible à tous, offres de gardes des jeunes enfants, de loisirs et d'activités culturelles, etc.
N'est-ce pas grave d'avoir laissé filer à La Ciotat et à Saint-Mandrier la possibilité d'installer sur la partie orientale du site des anciens chantiers navals une activité économique de réparation de bateaux de grande plaisance, qui aurait pu générer de nombreux emplois ?
De même, en acceptant d'englober notre Office de Tourisme dans une nébuleuse regroupant ceux de Six-Fours et d'Ollioules, bien plus coûteuse que l'ancienne structure, en ne pesant pas sur le Conseil Général pour obtenir la réfection de la Corniche de Tamaris que l'on espère depuis des décennies, en ne s'attaquant pas de front aux problèmes récurrents de pollution des eaux de baignade, en laissant l'agglomération supprimer la liaison maritime reliant Les Sablettes au centre historique, on n'a pas favorisé l'activité touristique.
Et, même si le Cours Louis-Blanc a été rénové, en tardant à s'appuyer sur la dynamique de l'association des commerçants du centre ancien qui a redémarré pour impulser une animation, et en ayant une politique d'urbanisme qui risque de transférer l'activité commerciale vers les "nouveaux quartiers", la droite a pris un gros risque pouvant précipiter la mort de notre centre ancien.
Les élus de Gauche l'ont dénoncé au cours du mandat 2001-2008 !
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Avec la droite, nous perdons 1 point de Qualité de Ville !
Il nous en reste...
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